Table tennis demo leads to ‘83 Games

Six gold medals and three bronze medals add up to quite an accomplishment by most standards. But for Canada’s national table tennis team, the feat passed largely unnoticed in the larger arenas of the 1979 Pan American Games. This despite the fact that if table tennis had been competing on an official basis instead of as a demonstration sport, it would have ranked first in gold medals won by a Canadian team.

Mariann Domonkos

MARIANN DOMONKOS, winner of four gold medals at the 1979 Pan American Games demonstration.
MARIANN DOMONKOS, gagnante de quatre médailles d’or aux Jeux Panaméricains 1979.

The gold medals went to Ed Lo of Vancouver in men’s singles; Mariann Domonkos of Montreal in women’s singles; Lo and Alex Polisois of Montreal in men’s doubles; Domonkos and Birute Plucas of Toronto in women’s doubles; and Domonkos and Polisois in mixed doubles. Canada’s women also won the team gold medal.

Bronze medallists were Polisois in men’s singles and Lo and Plucas in mixed doubles. The third bronze medal went to the men’s team.

For several years, table tennis had been exerting a lot of pressure to gain official admission to the 1983 Pan American Games in Caracas, Venezuela. This was finally granted in September 1979.

“We expect to be admitted to the Commonwealth Games shortly,” says Adham Sharara, technical director of the Canadian Table Tennis Association (CTTA). “And with the admission of China to Olympic competition, it could well be that table tennis will be recognized as an Olympic sport.”

As the sport with the third largest international federation in the world, table tennis has come a long way from its rather humble beginnings in England in the 1880s.

At that time, Parker Brothers Ltd. developed a game rather like miniature tennis which they named “Gossima.” Another name, which quickly gained popular usage, was “ping pong” from the sound of the ball hitting the table.

Interest grew rapidly, largely, says Sharara, because it was “a dainty game for women to play at home.” By the early 1890s, the first association was formed and the name changed to “table tennis” because “ping pong” was registered to Parker Bros.

Today, table tennis has developed into a demanding, competitive sport to the extent that at the 1979 world championships in Korea, 67 countries participated. On the other side is the sport’s enormous popularity as a “basement game.”

Sharara says this popularity presents a problem to the competitive side of the sport.

“In order to move up internationally,” he says, “we have to encourage people to get out of their basements and into clubs. The CTTA is well organized at the national level and every province has an association. But we must develop the overall club level across the country and promote table tennis as a sport which demands a high level of proficiency from those who play it seriously.”

“The beauty of table tennis,” says Sharara, “is that no matter what a person’s size or physical attributes, the game can be adapted to suit the individual.” He mentions flexibility, coordination, good space orientation, and strength in the legs as important requirements for a good player. Table tennis is also a difficult psychological game, says Sharara, because of the opponent’s proximity.

“A good player must learn to use his or her state of mind to advantage,” says Sharara, “by observing the opponent and watching for signs of stress, breaking of concentration, and so on.”

Sharara says the immediate aims of the CTTA include Game Plan status and development of a national training centre “in order to accelerate the development of our very talented young players.”

He feels that it is possible for Canada to move into the first division at the 1985 world championships.

“At the moment,” says Sharara, “Canada is securely situated in the second of four divisions and is ranked 22nd in the world. It is only possible to move up by finishing first or second in a division and by finishing better than last in the new division the next time around.”

He says that although Canada has several players capable of playing in the first division, it probably will take until 1985 for the team to achieve that level.

“As for the Pan Ams,” says Sharâra, “we didn’t really expect to win six gold medals out of a possible seven. We are ranked number two in North America behind the USA. But that ranking is determined by world championships results where professionals compete against the amateurs. Since the Americans have many more pros than us and the Pan Ams are strictly amateur, our results there show that Canadian amateurs are, at the least, very definitely competitive with the Americans.”

Sharara is confident that the team’s excellent showing at the Pan Ams will be repeated, especially if table tennis moves into the ranks of official Games sports. Additional competitive opportunities and funding for athletes, he says, can only result in even better performances in the future.

Le tennis sur table aux Olympiques?

Six médailles d’or et trois de bronze représentent tout un exploit, peu importe le standard. Mais pour l’équipe nationale canadienne de tennis sur table, cette réussite est passée presqu’inaperçue au cours des Jeux Panaméricains 1979. L’on doit reconnaître que si le tennis sur table avait fait partie du programme officiel des Jeux plutôt que d’être un sport de démonstration, il se serait classé au premier rang des médailles d’or remportées par une équipe canadienne.

Les médailles d’or ont été décernées à Ed Lo de Vancouver, en simple masculin, à Mariann Domonkos de Montréal, en simple féminin, à Lo et Alex Polisois de Montréal, en doubles masculins, à Domonkos et Birute Plucas de Toronto, en doubles féminins, et à Domonkos et Polisois en doubles mixtes. L’équipe féminine canadienne s’est également mérité la médaille d’or par équipe.

Les médaillés de bronze furent Polisois en simple masculin, et Lo et Plucas en doubles mixtes. L’équipe masculine a remporté la troisième médaille de bronze.

Depuis plusieurs années, le tennis sur table s’emploie à faire de sérieuses pressions afin d’être admis officiellement au programme des Jeux Panaméricains 1983 à Caracas, Vénézuela. Ce fut finalement confirmé en septembre 1979.

“Nous espérons être admis aux Jeux du Commonwealth très bientôt”, affirme Adham Sharara, directeur technique de l’Association Canadienne de Tennis sur Table (ACTT). “Et depuis l’acceptation de la Chine en compétition olympique, il est très possible que le tennis sur table soit reconnu comme sport olympique.”

En tant que sport dont la fédération internationale est la troisième plus importante au monde, le tennis sur table a fait des progrès monstres depuis ses humbles origines au cours des années 1880 en Angleterre.

A cette époque, Parker Brothers Ltd. développa un jeu ressemblant au tennis en miniature, qu’ils nommèrent “Gossima”. Ce jeu fut également connu sous un autre nom populaire, “ping pong”, d’après le bruit de la balle frappant la table.

L’intérêt crût rapidement surtout, de dire Sharara, parce que c’était “un jeu délicat que les femmes pouvaient jouer à la maison”. Au début des années 1890, la première association fut créée et le nom changea à tennis sur table car Parker Bros, détenait les droits sur le nom “ping pong.”

De nos jours, le tennis sur table est devenu un sport exigeant et compétitif. Aux Championnats du Monde 1979, en Corée, l’on compta 67 pays participants. D’autre part, l’on doit tenir compte de l’énorme popularité du sport en tant que “jeu de sous-sol”.

Selon Sharara, cette popularité cause des problèmes pour l’aspect compétitif du sport.

“Si nous voulons progresser sur le plan international,” poursuit-il, “nous devons en courager les gens à sortir de leurs sous-sols et à s’inscrire dans des clubs. L’ACTT est très bien organisée au niveau national et chaque province a une association. Mais nous devons travailler au développement des clubs en général à travers le pays et promouvoir le tennis sur table comme un sport qui exige un très haut niveau de compétence de la part de ceux qui le pratiquent sérieusement.”

“L’avantage du tennis sur table,” explique Sharara, “c’est que peu importe la taille ou le physique d’une personne, le jeu peut s’adapter aux besoins de l’individu.” Il mentionne la flexibilité, la coordination, un bon sens de l’espace et la force des jambes comme étant des attributs importants pour un bon joueur. Le tennis sur table est également un jeu difficile psychologiquement, à cause de la proximité de l’adversaire.

“Un bon joueur doit apprendre à tirer avantage de son état d’esprit, en observant son adversaire et en essayant de détecter des signes de stress, de bris de concentration, etc.”

Selon Sharara, les objectifs immédiats de l’ACTT visent l’obtention du statut de Plan des Jeux, et le développement d’un centre national d’entraînement “afin d’accélérer le développement de nos jeunes joueurs de talent.”

Il croit que le Canada peut passer en première division lors des Championnats du Monde 1985.

“Pour l’instant”, dit-il, “le Canada est solidement installé dans la deuxième de quatre divisions et est classé 22ième au monde. Il n’est possible de progresser qu’en terminant premier ou deuxième de sa division et en se classant mieux que dernier de la nouvelle division la fois suivante.”

Bien que le Canada bénéficie de plusieurs joueurs capables de jouer dans la première division, il faudra sans doute attendre à 1985 pour que l’équipe en arrive à ce niveau.

Il poursuit: “Pour ce qui est des Jeux Panaméricains, nous ne nous attendions vraiment pas à remporter six médailles d’or sur un total possible de sept. Nous sommes classés deuxième en Amérique du Nord, derrière les Etats-Unis. Mais ce classement est déterminé par les résultats obtenus aux Championnats du Monde où les professionnels peuvent s’opposer aux amateurs. Et comme les Américains ont beaucoup plus de professionnels que nous et que les Jeux Panaméricains sont strictement pour amateurs, nos résultats démontrent que les amateurs canadiens sont définitivement compétitifs face aux Américains.”

Sharara est convaincu que les excellents résultats obtenus par l’équipe aux Jeux Panaméricains seront répétés, surtout si le tennis sur table devient partie intégrante du programme officiel des Jeux. Des possibilités de compétitions additionnelles et un financement accru assureront certainement de meilleures performances à l’avenir.