Huguette Routhier
Huguette Routhier’s interest in a career in sport administration was kindled by a summer job working on the 1969 Task Force Report on Sport.
“I liked it so much,” she says, “that I decided I wanted to some day come back to the Fitness and Amateur Sport Branch. I wanted a career doing something I really liked which was sport.”
So, after graduating from the University of Ottawa in 1973, first with a bachelor of arts degree in philosophy and then with an honours degree in physical education, Routhier was hired as a technical assistant with Game Plan.
Routhier is currently working toward a master’s degree in sport administration, concentrating on public sector management.
She defines the role of a consultant as being primarily that of providing liaison between Sport Canada and its clientele, the sport community at large.
But, noting that consultants can’t use a stereotyped approach to their work, she says that the job must consist of “a human relationship in that a consultant must understand, evaluate, and contribute to the development of his/her sports.”
“If you look at the variety of people at Sport Canada,” she says, “you’ll see that all are involved in sport, either as coaches, officials, or athletes. So, although we sometimes are accused of government interference, unfairly, I think, really our only interest is the development and betterment of sport.”
Routhier has had a life-long interest in sport. In particular, she played university volleybaii and is an experienced volleyball official.
During her five years at Sport Canada, Routhier has progressed from technical assistant to Special Projects officer to consultant.
While working on Special Projects, she was involved in programs focussing on Francophone countries, and on particular projects such as the International Congress for French-Speaking Countries. She worked on the 1975 Canada Games and the Pre-Olympic Games in 1975, before becoming a full-time consultant in 1975.
“I’ve seen tremendous changes in the sport community over the past few years,” she says, “particularly in the areas of administration, services, and programs. In fact, the work has become increasingly complex but, at the same time, it’s versatile and interesting.”
As she sees it, it is up to each sport to ensure its own proper development, with the consultant providing advice and facilitating the financial arrangements.
“I think that one of the advantages consultants have is that we understand more than one sport,” she says. “This gives us a perspective of the entire sport scene which we communicate to one another and to our sports.”
Routhier takes particular satisfaction from the evolution of the sports for which she is responsible.
“I’ve seen some sports grow from a very small nucleus of people into large, professional associations,” she says. “My Game Plan sport, badminton, is one which has really moved since 1976 when it became part of Game Plan. It’s also both challenging and rewarding to work with developing sports, such as ringette, and with non-residents, such as lawn bowling.”
To Routhier, the real fulfillment comes from working with sports people whom, she says, display a real zest for what they are doing.
Vos conseillers en sport
Huguette Routhier
L’intérêt d’Huguette Routhier pour une carrière en administration sportive est né d’un emploi d’été en 1969, avec le Groupe de Travail sur le Sport.
“Cela m’a tellement plu”, dit-elle, “que j’ai décidé qu’un jour, je reviendrais à la Direction Générale de la Santé et du Sport Amateur. Je voulais faire carrière dans quelque chose qui me plaisait vraiment, c’est-àdire le sport.”
Après avoir gradué de l’Université d’Ottawa en 1973, d’abord avec un baccalauréat ès arts en philosophie, puis un diplôme en éducation physique, Routhier se retrouva embauchée à titre d’adjoint technique à Plan des Jeux.
A l’heure actuelle elle étudie en vue d’obtenir une maîtrise en administration sportive, se concentrant en gestion publique.
Selon elle, le rôle du conseiller en est un de liaison entre Sport Canada et sa clientèle, la communauté sportive.
Mais, précisant qu’un conseiller ne peut avoir une approche stéréotypée dans son travail, elle affirme que le poste en est un de “relations humaines, car un conseiller doit comprendre, évaluer, et apporter sa contribution au développement de son sport.”
“Si vous portez attention à la diversité des employés à Sport Canada,” de dire Routhier, “vous remarquerez que tous sont impliqués dans le sport, à titre d’entraîneur, d’officiel, ou d’athlète. Bien que nous soyons parfois accusés d’intervention gouvernementale, injustement, je crois, notre seul intérêt est vraiment le développement et l’avancement du sport.”
Routhier s’est toujours intéressée au sport. Entre autres, elles joua au volleyball à l’université, et elle est un officiel d’expérience dans ce sport.
Au cours de ces cinq années à Sport Canada, elle a progressé d’adjoint technique, à responsable de Projets Spéciaux, au poste de conseiller.
Aux Projets Spéciaux, elle fut plus particulièrement impliquée dans des programmes concernant les pays francophones, et dans des projets spécifiques tel le Congrès International des Pays Francophones. Elle travailla aux Jeux du Canada de 1975, et aux Compétitions Internationales pré-olympiques 1975. Elle devint conseiller en 1975.
Elle explique: “J’ai remarqué des changements dramatiques dans la communauté sportive ces dernières années. Surtout dans les domaines de l’administration, des services et de la programmation. En fait, le travail est de plus en plus complexe tout en étant diversifié et intéressant.”
Elle est d’avis que chaque sport est responsable de voir à son propre développement, alors que le rôle du conseiller est de fournir ses conseils et de faciliter les arrangements financiers.
“Je crois que l’un des avantages du conseiller est qu’il comprend plus d’un sport,” poursuit-elle. “Ce qui nous donne une bonne vue d’ensemble sur la scène sportive en général. C’est ce que nous échangeons entre nous, et essayons de communiquer à nos sports.”
Routhier est particulièrement satisfaite de l’évolution des sports dont elle a la responsabilité.
“J’ai pu observer certains sports progresser d’un petit noyau de bénévoles pour devenir une association vaste et professionnelle,” ditelle. “Le sport Plan des Jeux dont je m’occupe, le badminton, en est un qui a vraiment bougé depuis qu’il fait partie de Plan des Jeux, soit 1976.
Et c’est aussi très encourageant de travailler avec des sports en voie de développement comme la ringuette, et des sports nonrésidents, comme le boulingrin.”
Pour Routhier, le vrai sens de l’accomplissement provient de la collaboration avec des gens impliqués dans le sport qui, selon elle, se consacrent entièrement à ce qu’ils font.