First at Commonwealth Games
Canada will move up from third place in 1974 to first place in overall standings at the 1978 Commonwealth Games in Edmonton, according to Ottawa sport technologist Dr. Martin Bielz.
Bielz is presently analyzing programs of the National Sport Governing Bodies (NSGB), with the objective of assisting them in the planning and preparation of their national teams for the Commonwealth Games.
Holding a doctorate in Sport Science from Deutsche Hochschule für Korperkultur, Leipzig, GDR, Bielz was technical director, Canadian Association of Amateur Oarsmen from 1971-1975, and was Olympic Organizing Committee coordinator and competition director for rowing at the 1976 Games.
He described the phases in development of athletic performance as “planning, implementation, and evaluation.”
“Our present performance level among the Commonwealth countries does not necessarily reflect the results in the ’74 Commonwealth Games, where Canada finished third behind Australia and England,” said Bielz. “Since then, several rankings and performances have changed substantially.” He regards Canada as a country whose development has occurred “at a higher rate than most other Commonwealth countries.”
“This development and our ’76 Olympic results justify our expectations of better standings at the ’78 Commonwealth Games.”
Planning performance development
The planning process consists of several steps:
- Assessment and analysis of the present level of Canadian sport performance.
- Forecasts of the performance of Canadian athletes at upcoming Games.
- Setting of short and long term objectives.
- Planning of short and long term preparation and competition programs.
“The establishment of short and long term objectives is just about completed. Work is about to begin on planning short and long term preparation and competition programs,” said Bielz. “The crucial factor will be the degree of support which can be made available to assist coaches in specialized work.”
Monitoring the development
Bielz considers the monitoring or implementation phase as important as the planning phase. Monitoring is done through control of each stage of preparation and competition. This means that “weak links” can be strengthened before the final performance in the major competition.
“Improper or inadequate monitoring means disappointment for the athlete, the coach and the public. We want to avoid this disappointment by accurately planning our performances for the Commonwealth Games. At the same time, all of us – National Sport Governing Bodies, coaches, technical directors, technical committees – have to make sure that the plans are implemented properly,” he explained.
Public awareness important
Bielz feels that performance objectives should be available to the public. “If the objectives are set realistically and if the preparation and competition are planned properly, then the public will be well prepared to encourage our athletes when they need it most.”
Describing himself as optimistic, Bielz said that Canada has the basic assets for enormous development in sport. Support must go to the athlete who needs a certain level of coaching expertise, the proper environment to train and perform, and medical and nutritional support which is “absolutely essential.”
“While additional funds will help sport programs to grow, in my opinion, what we need now is better organization, better use of resources.”
He envisages a centralized approach to provide NSGBs with updated technical services consisting of planning, evaluation, training methodology, applied research, organizing of competitions, and medical and paramedical support. As he pointed out, the NSGBs were given an administrative service in the National Sport and Recreation Centre, which resulted in better organization. “At this stage, I think the next requirement is an improved technical Service.”
Comment y parvenir?
Le Canada premier à Edmonton
Selon le docteur Martin Bielz, technologue sportif d’Ottawa, le Canada se hissera de la troisème place à la première, lors des Jeux du Commonwealth de 1978, qui auront lieu à Edmonton.
Le docteur Bielz s’occupe présentement à faire l’analyse des programmes établis par les fédérations sportives nationales, dans le but d’aider à la planification et à la préparation des équipes nationales qui participeront aux Jeux.
Détenteur d’un doctorat en science des sports de l’université “Deutsche Hochschule für Korperkultur”, de Leipzig, RDA, le docteur Bielz, était auparavant directeur technique de l’Association Canadienne d’Aviron Amateur de 1971 à 1975 et coordonnateur-directeur des compétitions d’Aviron aux Jeux de 76, à l’inteérieur du Comité Organisateur des Jeux de la XXIe Olympiade.
D’après lui, les phases du développement de la performance athlétique se résument dans la planification, la mise en oeuvre et l’évaluation.
“Notre niveau de performance actuelle, dans les pays du Commonwealth, ne reflète pas nécessairement les résultats obtenus lors des Jeux de ’74, alors que le Canada terminait en troisième place, après l’Australie et l’Angleterre,” d’affirmer le docteur Bielz. “Depuis lors, certains niveaux de performance ont connu de vastes modifications.” Il considère que le Canada a connu un développement “à un taux plus élevé que dans la plupart des pays du Commonwealth.”
“Ce développement et les résultats que nous avons accumulés aux Jeux olympiques de ’76 justifient pleinement l’expectative d’une position amélioréc aux Jeux du Commonwealth de 1978.”
Planification développement de la performance
Un processus de planification consiste en certaines étapes, notamment:
- la vérification et l’analyse du niveau de performance actuel du sport canadien,
- la projection de la performance des àthlètes canadiens dans des Jeux futurs,
- l’établissement d’objectifs à court et à long terme, et
- la planification de programmes de préparation à court et à long terme.
“L’établissement d’objectifs à court et à long terme est presque terminé. Nous commeneerons bientot les programmes de préparation et de compétition à court et à long terme,” pursuivait le docteur Bielz, “Le degré d’appui que nous pourrons espérer pour aider les entraineurs spéciaalisés, sera un facteur de grande importance.”
Le controle du développement
D’apès le docteur Bielz, la phase de controle, ou d’implantation, et aussi importante que la phase de planification. Le controle se fait par le truchement de la maitrise de chaque stade de préparation et de compétition. De cette façon, les lacunes peuvent ètre comblées avant la performance finale.
“Un controle incorrect ou inadéquat est décevant, tant pour l’athlète et l’entraineur que pour le public. Nous voulons éviter ce genre de déception par une planification exacte de notre performance aux Jeux du Commonwealth. Simultanément, nous devons tous, les fédérations sportives, les entraîneurs, les directeurs et les comités techniques, nous assurer que cette planification soit mise en oeuvre de façon convenable,” explique-t-il.
L’importance d’un public avisé
Le docteur Bielz est d’avis que les objectifs de performance devraient être à la portée du public. “Si les objectifs sont mis en place de façon réaliste et si la préparation et la compétition sont planifiées de la bonne façon, le public sera alors préparé à encourager nos athlètes lorsqu’ils en auront le plus besoin.”
Se distant optimiste, M. Bielz affirme que le Canada possède les valeurs primordiales requises pour un vaste développement dans le domaine du sport. L’athlète qui requiert un certain niveau d’expertise dans son entraînement doit avoir de l’appui, un environnement propice à l’entraînement et à la performance, ainsi qu’un support médical et alimentaire; “une nécessité absolue”.
Bien que des fonds additionnels aideraient à la croissance des programmes sportifs, il me semble qu’il nous faut maintenant une meilleure organisation; une meilleure utilisation de nos ressources,” de dire le docteur.
Il entrevoit une approche centralisée qui fournirait aux fédérations sportives des services techniques refondus et qui comprendraient une planification, une évaluation, une méthode d’entraînement, une recherche appliquée, une compétition bien organisée, le tout appuyé d’un support médical et paramédical. Comme il le soulignait, les fédérations sportives ont hérité de services administratifs à même le Centre National du Sport et de la Récréation ce qui a mené à une amélioration au niveau organisationnel. “A ce moment, je crois que le prochain stade sera celui d’un service technique amélioré.”