Al Rae
Al Rae, a former basketball referee whose judicious nature on the court has taken him to Tokyo, Mexico City, Munich, and Montreal, is acting Chief of Contributions at Sport Canada.
As Rae explains his job: “I’m the person who deals with the financial requests of the national sport governing bodies (NSGB) and who manages the activities of Sport Canada’s 12 consultants.”
Holding the belief that bureaucracy can be made to work, Rae says he has to make sure there is uniform interpretation of the terms and conditions of financial requests. He also pilots the requests through each phase of the bureaucracy until approval is granted.
The system works, says Rae, because those who hold “sport jobs” are at Sport Canada for the sport rather than the job.
“It is essential that a consultant have, at the least, an affinity for sport, and, preferably, an intensive and often personal interest in sport,” he says.
A native of Winnipeg, Rae began refereeing basketball while still in high school. For several years, he combined playing and officiating.
“I was a pretty good senior player,” he says, “but that’s about it. Refereeing was a way for me to stay connected with the game. And it provided its own opportunity for a high level of achievement.”
Along with the four Olympics, Rae has officiated his way around the world, taking in several Pan American Games and Asian Games, as well as numerous Asian championships.
Following Munich, Rae returned his back on.a 20-year career with the RCMP, a career which let to postings in Germany, India, and Japan, to join Sport Canada.
“As host of the 1976 Olympics, Canada had to provide skilled technical personnel to the Games,” says Rae. “I became coordinator of officiating programs, a position I still hold.” Rae is also the consultant to basketball and volleyball.
Commenting on current government restraints, Rae admits that requests from NSGB’s will have to be examined even more closely than in the past.
“I think we can work it out through careful planning,” he says. “After all, the Game Plan sports now have the technical expertise to decide for themselves which programs can best be cut. Sport Canada’s role is to work out the financial realities.”
As an observer of Canadian athletes through four Olympics, Rae believes one major change over the years is the athletes’ recognition that they can achieve, and achieve well, at international levels. He uses basketball to make his point, saying that prior to 1976 the team attitude was, “I hope we don’t get beaten by more than 30.”
By 1976, the players were saying, “We’re going to give them a good game.” And in 1978, it’s become, “Given the right conditions, we can beat the rest of the world.”
Following the 1976 Olympics, Rae retired from active refereeing at the international level to concentrate his efforts as a member of the technical commission of FIBA (Federation Internationale de Basketball Amateur).”
Vos conseillers en sport
Al Rae
Al Rae, qui grâce à sa compétence en tant qu’arbitre de basketball, a voyagé de Tokyo à Mexico, de Munich à Montréal, est présentement Responsable des Contributions (par intérim) à Sport Canada.
Comme il expliquait ses fonctions, “je suis celui qui s’occupe des demandes de subvention des associations sportives nationales et que coordonne les activités des 12 conseillers en sport de Sport Canada.”
Convaincu que la bureaucratie peut fonctionner, Al Rae affirme qu’il doit s’assurer que les termes de référence des demandes de subvention soient compris de la même façon par tous. C’est également lui qui pilote les demandes à travers les différents échelons de la bureaucratie, jusqu’au moment de l’approbation finale.
Le système fonctionne — selon Al Rae — parce que ceux qui détiennent des “postes en sport” sont à Sport Canada parce qu’ils aiment le sport, et non pour la position.
“Il est indispensable que le conseiller ait au moins un intérêt pour le sport, et de préférence, qu’il soit vraiment impliqué de façon intensive et personnelle dans le monde du sport,” de dire Rae.
Natif de Winnipeg, Rae débuta comme arbitre de basketball au niveau secondaire. Pendant de nombreuses année, il fut actif en tant que joueur et arbitre.
“Je ne me débrouillais pas mal comme joueur sénior,” dit-il, “mais pas plus. L’arbitrage fut ma façon de rester impliqué dans le sport. Et cela m’a fourni d’excellentes occasions d’atteindre un haut niveau de réalisation.”
Al Rae a arbitré quatre Jeux Olympiques, plusieurs Jeux Panaméricains et Jeux Asiatiques, de même que de nombreux Championnats Asiatiques.
Au retour des Jeux de Munich, Rae mit fin à une carrière de 20 ans avec la Gendarmerie Royale, une carrière qui le mena à des postes en Allemagne, aux Indes, et au Japon, et joignit les rangs de Sport Canada.
“En sa qualité d’hôte des Olympiques de Montréal, le Canada se devait de fournir un personnel technique qualifié pour les Jeux,” explique-t-il. “Je devins coordonnateur du programme des officiels, poste que je détiens toujours.” Rae est également le conseiller pour le basketball et le volleyball.
Quant aux restrictions gouvernementales actuelles, il admet que les demandes provenant des associations sportives nationales devront être étudiées plus attentivement encore que dans le passé.
“Je crois que nous pouvons y arriver, grâce à une planification plus sérieuse, dit-il. En fait, les sports de Plan des jeux possèdent maintenant l’expertise technique nécessaire pour être en mesure de décider eux-même quels sont les programmes qui peuvent être éliminés. Le rôle de Sport Canada est de régler les détails financiers.”
Ayant observé les athlètes canadiens au cours de quantre Olympiades, Al Rae croit que l’un des changements les plus frappants des dernières années est que les athlètes sont enfin confiants qu’ils peuvent réussir, et réussir très bien, au niveau international. Mentionnant le basketball à titre d’exemple, il indique qu’avant 1976, l’attitude de l’équipe était: “J’espère que nous ne perdons pas par plus de 30 points.”
En 1976, les joueurs disaient: “Nous allons leur offrir un bon match.” Et maintenant, en 1978,: “Si les conditions sont favorables, on peut vaincre le reste du monde.”
A la suite des Jeux Olympiques de 1976, Al Rae cessa ses activités d’arbitre international pour se consacrer davantage à la Commission Technique de la F.I.B.A. (Fédération Internationale de Basketball Amateur).