Commonwealth Games analyzed

Dr. Martin Bielz looks at past performances

First in a two-part series

The continuous development of sport in modem society and the subsequent social implications represent grounds for periodic evaluation and analysis of the sports system in a given country.

Such analysis can provide information on the level of development, various developmental trends, and weaknesses in the system, and can point to solutions for further development plans. This information can be applied to the overall system, to a specific sport or discipline, and to a team or athlete.

Whether analysing a sports system or an individual sport or discipline, several basic factors, including objectives, structure, and means, must be considered.

When analysing competition results, the analysis refers to performance-determining factors and the correlation between them.

The intent of this article is to provide an understanding of the actual results of Canadian athletes and their development over the past four editions of the Games.

The following overview is limited to the specific performance record of Canadian athletes in the past four editions of the Commonwealth Games only. The previously mentioned factors are not analysed in this article.

The tables and graphs are part of an indepth analysis prepared by our office and represent a review of all the participating sports.

FIGURE 1: This represents a graphical analysis of the overall medal standings in the Games. The first six countries are recorded. It should be noted that Pakistan, ranked sixth in 1962, does not maintain its standing in subsequent Games.

India and Nigeria rank fifth and sixth respectively with an equal number of medals (three gold, four silver, and three bronze for a total of 10) in 1966. These countries do not maintain these positions in subsequent Games.

Kenya moves into fifth position in 1970, dropping to sixth place in 1974.

Canada ranks fourth in 1962 and moves to third in 1966, maintaining that position over 1970 and 1974.

Scotland did not rank among the six best in 1966 but places fourth in 1970 and fifth in 1974.

FIGURE 2: This represents a graphical analysis of Canadian results in summary.

The six best placings of Canadian athletes are graphically analysed over the four editions of the Games. It is noted that the number of gold medals and fourth place finishes have continuously increased while the number of other placings increased for the first three Games only.

FIGURE 3 to 6: These represent a statistical analysis of summary tables with the Canadian placings by individual sport for each Games.

Recorded are the numbers of entries made by each sport, Canada’s ranking within the first six places, and “others”, representing rankings lower than sixth.

The internationally accepted point system for the first six placings (7,5,4,3,2,1) has been applied and the equivalent points recorded under the column entitled “actual” points.

The column entitled “possible” points represents the equivalent number of points for a maximum possible result for the number of Canadian entries.

Under the “%” column, the percentage value of actual results attained relative to the maximum possible is recorded.

FIGURE 7: This represents a graphical analysis of the number of total entries made by Canada during the past four Games and, again, is a summary only.

These numbers do not necessarily represent the number of athletes, because, in some sports, one athlete may enter several events.

It is noted that the number of entries increased to more than double from 1962 in Australia to 1966 in Jamaica. The increase in 1970 is minimal and, by 1974, entries are slightly reduced.

FIGURE 8: This represents a graphical analysis of the competitiveness, that is, the efficiency, of the Canadian teams.

In comparing the actual results attained by our athletes with the maximum possible for the number of entries (using the abovementioned point system) a percentage value is obtained which can be used to assess the degree of competitiveness of our mission in each of the four Games, as well as the development of same over several Games.

It is noted that the Canadian team increased its competitiveness considerably from 30 per cent in 1962 to 45.9 per cent in 1974.

Une analyse des Jeux

Le docteur Bielz étudie les performances passées

Premier de deux articles

Le développement continu du sport dans la société moderne, et les conséquences sociales qui en découlent justifient largement une évaluation et une analyse périodique du système sportif d’un pays.

Cette analyse peut fournir de précieux renseignements quant aux niveaux de développement, aux différentes tendances de développement et aux faiblesses dudit système, et peut suggérer des solutions applicables aux projets de développement futurs. Ces renseignements peuvent bénéficier au système en général, à un sport ou une discipline spécifiques, de même qu’à une équipe ou un athlète.

Que l’on analyse un système sportif, ou un sport ou une discipline en particulier, il faut tenir compte de nombreux facteurs de base, dont les objectifs, la structure et les moyens de réalisation.

L’analyse de résultats obtenus en compétition évalue des facteurs déterminant rattachés à la performance, et leur correlation.

Cet article vise une compréhension des résultats réels des athlètes canadiens, et du développement enregistré au cours des quatre derniers Jeux du Commonwealth.

L’analyse se limite strictement aux performances spécifiques des Canadiens pour les quatre derniers Jeux du Commonwealth. Les autres facteurs mentionnés plus haut ne sont pas pris en considération.

Les chartes et tableaux ont été préparés par notre bureau et sont un extrait d’une analyse détaillée. Ils représentent un sommaire de tous les sports inscrits au programme.

LE TABLEAU 1 représente une analyse graphique des positions au total des médailles. Les six premiers pays y figurent. A noter que le Pakistan, sixième en 1962, ne se classa pas aux Jeux suivants.

L’Inde et le Nigéria, cinquième et sixième respectivement, avec un nombre égal de médailles (trois médailles d’or, quatre d’argent et trois de bronze, pour un total de 10) en 1966, ne conservèrent pas leur position aux Jeux suivants.

Le Kenya obtint la cinquième place en 1970, et la sixième en 1974.

Quant au Canada, après un quatrième place en 1962, il se classa troisième en 1966 et conserva cette position en 1970 et 1974.

L’Ecosse n’apparaît pas parmi les six premiers en 1966, mais termina quatrième en 1970 et cinquième en 1974.

TABLEAU 2: Une analyse graphique résumant les résultats obtenus par les Canadiens. Les six meilleures positions obtenues par des athlètes canadiens sont représentées graphiquement pour les quatre derniers Jeux. L’on note que le nombre de médailles d’or et de quatrième places augmente constamment, alors que le nombre des autres positions obtenues n’a augmenté qu’aux trois premières éditions des Jeux.

TABLEAUX 3 à 6: Une analyse statistique, par sport, des positions obtenues par les Canadiens à chacun des Jeux.

L’on y trouve le nombre d’inscriptions pour chaque sport, la position du Canada parmi les six premiers, et “autre”, signifiant plus qu’une sixième place.

Nous y avons appliqué un système de points accepté internationalement, pour les six premiers (i.e. 7 points, 5,4,3,2,1), et l’équivalence des points est inscrite sous la colonne points “réels”.

La colonne intitulée points “possibles” représente l’équivalent du nombre de points pour le meilleur résultat possible, compte tenu du nombre d’inscriptions canadiennes.

Sous la colonne “%”, l’on peut lire le pourcentage de la valeur des résultats réels par rapport au maximum possible.

TABLEAU 7: représente une analyse graphique du nombre total d’inscriptions canadiennes au cours des quatre derniers Jeux et n’est qu’un résumé.

Ces chiffres ne représentent pas nécessairement le nombre d’athlètes puisque dans certains sports, un athlète peut prendre part à plus d’un épreuve.

L’on observe que le nombre d’inscriptions a plus que doublé de 1962, en Australie, à 1966, en Jamaïque. L’augmentation pour 1970 est négligeable et en 1974, le nombre d’inscriptions a légèrement diminué.

TABLEAU 8: représente une analyse graphique de la compétitivité, i.e. de l’efficacité des équipes canadiennes.

En comparant les résultats réels obtenus par nos athlètes et le maximum possible compte tenu des inscriptions (basé sur le système de points sus- mentionné), l’on arrive à un pourcentage de valeur qui permet de mesurer le degré de compétitivité de nos délégations à chacun des quatre Jeux, de môme que le développement de cette compétitivité au cours de ces Jeux.

L’on remarque que l’équipe canadienne a amélioré son niveau de compétitivité de façon considérable, de 30 pourcent en 1962, à45.9 pourcent en 1974.