Olympic fate hangs on committee ruling

Men’s field hockey

Despite its second-place finish at the recent Pan American Games, there is still an even chance Canada’s men’s field hockey team will be competing in the Olympic Games next summer, says national coach John McBryde of Vancouver.

Canada met Argentina July 14 in San Juan for the Pan Am gold medal, which carried with it an automatic berth in the 1980 Olympics. Canada dominated the match territorially, but the Argentinians emerged with a 3-0 victory and the trip to Moscow.

KELVIN WOOD (16), Hash Kanjee, Fred Hoos, Mike Paget (14), Peter Motzek (7) congratulate each other following a Pan American Games victory.
KELVIN WOOD (16), Mask Kanjee, Fred Hoos, Mike Paget (14), Peter Motzek (7) se félicitent suite à une victoire panaméricaine.

“There’s still a 50-50 chance of our going though,” says McBryde. “There are 12 spots in the Olympic tournament and about 10 have already been filled by virtue of various countries having placed well in certain major championships. Our hopes now rest on the outcome of an International Hockey Federation (FIH) meeting early in the new year.”

Three options

As McBryde explains the procedure, the Canadian Olympic Association will be asked to nominate his team before the FIH for Olympic play. The FIH, which will likely meet in Brussels at the end of January, would then exercise one of three options:

  • It could simply decide that Canada does not qualify.
  • It could decide that Canada qualifies as “North American representative” and on the basis of its past record.
  • It could decide that there will be a qualifying tournament amongst countries in the same borderline position as Canada. (These countries include Malaysia, Poland, and Spain.)

“If we were chosen outright,” says McBryde, “we’d feel the decision would be reasonably justified. On the other hand, if another country were chosen on its record, we couldn’t complain.”

After the 1976 Olympics (tenth place), the 1978 World Cup (11th), and a major tournament earlier this year in Australia, McBryde says it would be a shame not to be able to continue competing at the top international level.

Olympics high profile

Realistically, McBryde admits, Canada could expect to finish no better than seventh or eighth in Moscow.

“The big thing,” he says, “is that the Olympics would keep Canadian field hockey in high profile for another year.”

Otherwise, he says, with the 1981 Intercontinental Cup being the next major tournament, there would be a serious vacuum created in the elite program.

McBryde also fears losing some of his top players without the incentive of the Olympics.

But, he notes, interest is still keen on the part of the team’s veterans. He points to the example of team captain Alan Hobkirk, who led all Pan Am Games scorers with 18 goals in six games. Hobkirk retired after San Juan, only to “unretire” a week later.

Aux Jeux Olympiques?

Hockey sur gazon

Malgré sa deuxième place aux Jeux Panaméricains cet été, il reste encore une chance que l’équipe canadienne masculine de hockey sur gazon participe aux Jeux Olympiques l’été prochain, de dire l’entraîneur national John McBryde, de Vancouver.

McBryde

C’est le 14 juillet que le Canada rencontrait l’Argentine pour la médaille d’or panaméricain, qui signifiait une place automatique aux Olympiques de 1980. Le Canada domina le match sur toute la ligne, mais les Argentins remportèrent la victoire par un compte de 3 à 0, et le voyage à Moscou.

“Les chances que nous y allions sont encore de 50-50”, poursuit McBryde. “Il y a douze équipes au tournoi olympique et je crois que dix places ont déjà été comblées, suite à divers résultats de certains championnats d’importance. Nous misons maintenant sur les conclusions d’une assemblée de la Fédération Internationale de Hockey (FIH), prévue au début de l’année prochaine.”

Trois options

McBryde explique le processus, i.e. que l’Association Olympique Canadienne devra sur requête de la FIH nommer son équipe pour les Olmpiques. La FIH, qui doit se réunir vraisemblablement à Bruxelles à la fin de janvier, aura alors trois options:

  • elle peut tout simplement décider que le Canada ne se qualifie pas.
  • elle peut décider que le Canada se qualifie en tant que “représentant nordaméricain”, et ce, sur foi de son palmarès passé.
  • elle peut décider qu’il doit y avoir un tournoi de qualification entre les pays qui sont des “cas-limites” comme le Canada. (Ces pays comptent la Malaisie, la Pologne et l’Espagne.)

“Si on nous choisit d’emblée”, poursuit McBryde, “nous serons prêts à admettre que la décision est raisonnablement justifiée. D’autre part, si un autre pays’ était choisi, basé sur ses résultats, nous ne pourrions pas nous plaindre.” Après les Olympiques de 1976 (une dixième place), la Coupe du Monde 1978 (llième) et un tournoi majeur au début de l’année en Australie, McBryde avoue qu’il serait dommage de ne pouvoir continuer à participer à des compétitions sur la scène internationale.

Il admet que pour être réaliste, le Canada ne peut s’attendre à se classer mieux que septième ou huitième à Moscou.

“Mais ce qui est important, c’est que les Olympiques maintiendraient le niveau du hockey sur gazon canadien pour une autre année.”

Autrement, le prochain tournoi d’importance sera la Coupe Intercontinentale en 1981, ce qui créerait un grand vide dans le programme d’élite.

McBryde craint également perdre quelques-uns de ses meilleurs joueurs, sans la motivation des Olympiques.

Mais, note-t-il, l’intérêt est toujours là chez les vétérans de l’équipe. Il cite comme exemple le capitaine de l’équipe Alan Hobkirk, en tête de tous les compteurs aux Jeux Panaméricains, avec 18 buts en six parties. Hobkirk s’est retiré après San Juan, et s’est “dé-retiré” une semaine plus tard.